Ingénieurs, Chefs mécaniciens et Mécaniciens

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Ingénieurs. Marcel Moine le recrute en tant qu’ingénieur aéronautique dans ses bureaux d’études de la Société Industrielle Des Avions Latécoère (SIDAL) où il reste quatre ans.

A la fin de 1927, Daurat décide d’envoyer à Rio de Janeiro une équipe de pilotes et d’ingénieurs ayant fait leur preuve: Thomas, Brédrignan, Pivot, Rozes, Négrin, encadrés par Julien Pranville et Emile Barrière. Ils sont chargés de mettre en place les lignes Latécoère en Amérique du Sud. Emile Barrière entre alors à la Cie Générale Aéropostale en Mars 1928, en tant que chef des ateliers de révision à Rio-De-Janeiro jusqu’en Juillet 1929, date à laquelle il part à Buenos Aires pour y créer l’atelier central des Lignes Latécoère pour toute l’Amérique du Sud. Il s’y illustre en mettant en place le montage des avions Laté 26, puis Laté 28 et leur mise en service rapide sur le réseau Sud Américain.

En 1930, suite au décès tragique de Julien Pranville, Emile Barrière prend la direction de l’exploitation pour l’Amérique du Sud.

Emile Barrière organise le réseau, les installations, la logistique et assure la maintenance des avions, dirige les révisions de l’Arc en Ciel et la mise en service des nouveaux Latécoère, Potez ou Breguet.

A la création d’Air France en Octobre 1933, Emile Barrière devient Directeur du réseau d’Amérique du sud de la compagnie Air France.

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Mécanicien. Le 5 octobre 1920, le Breguet 14 de Charles Genthon et Léo Bénas est pris dans une tempête à la nuit tombante. Craignant de ne pouvoir atteindre Alicante, le pilote décide de faire demi-tour en direction de Valence. Avec un désagrément supplémentaire : il rate la piste de secours ce qui le contraint à se poser dans un champ près d'Onteniente. L'appareil heurte un sol caillouteux et finit sa course en catastrophe. Ils meurent carbonisés.

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Ingénieur. La veille de l'inauguration de la ligne Marseille-Alger, il trouve la mort avec l'équipage (Ferdinand Achille Enderlin, pilote, René Mercier, pilote, Éloi Ville, pilote, René Perret, ingénieur, Gustave Berdin, ingénieur, M. Mattei, opérateur radio) lors d'un vol d'essai de l'hydravions Laté 21 à Marignane

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Mécanicien. Il entre aux lignes Latécoère à Toulouse le 22 mai 1923. Il est mécanicien sur hydravion bimoteur Lioré et Olivier début 1924. Ensuite, il poursuit une carrière aéronautique très active, il vole sur Latécoère 28 "Comte de la Vaultx", sur le Couzinet 70 "Arc en Ciel", en second de Collenot pour les visites au sol sur le Farman "Ville de Montevideo".

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Mécanicien. Né en 1902. Mécanicien, "le compagnon de Mermoz", Il entre à la Cie Générale Aéropostale en 1925 comme mécanicien navigant. En octobre 1928, le Laté 25, piloté par Mermoz est plaqué au sol à 4200 mètres d'altitude dans la Cordillère de Andes par -20 degrés. Après trois jours d'efforts pour réparer avec des moyens de fortune le train d'atterrissage et la tuyauterie du moteur gelée, et hisser l'avion au sommet d'un versant du plateau où ils ont été plaqués, Mermoz lance l'avion sur la pente. Le départ est réussi en faisant trois bonds successifs sur des plates-formes séparées chacune par un précipice. Après un séjour en France, il retourne en Amérique du Sud en 1932, prépare la traversée de retour vers la France de "l'Arc en Ciel". Il disparaît en mer le 10 février 1936 avec l' hydravion "Ville de Buenos-Aires" entre Natal et Dakar.

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Mécanicien. Il est engagé en 1921 chez Latécoère. Il est nommé mécanicien d'essais le 27 octobre 1927, puis chef mécanicien d'essais en décembre1928. Il est engagé en 1921, par la Société Latécoère, en tant que mécanicien. 1924-1925, il fait son service militaire à Cazaux où il devient caporal mécanicien. Il retourne chez Latécoère où il est nommé mécanicien d'essais le 27 octobre 1927, puis chef mécanicien d'essais en décembre 1928.
1927-1931, il est détaché en Amérique du Sud à la Cie Générale Aéropostale. En plus des essais d'avions venant de France, il participe aux vols d'étude préliminaires, avant l'ouverture des Lignes. Il se spécialise dans le dépannage et la réparation des avions qui se sont posés en rase campagne pour les ramener par les airs. Il a fait équipage avec les pilotes, Guillaumet, Victor Hamm, Rozés, Ville, Pivot, Etienne, Henri Delaunay, Elisé, Négrin, Santelli, Pierre Deley, Claudius Dupont, Chenu, Depecker, Gabriel Thomas, Mac Léod. A la suite de la liquidation de la Cie Gle Aéropostale et jusqu'en 1946, il participe à la mise au point des proto Latécoère: 300, "Croix du Sud", 302 "Guilbaud", 521 'Lieutenant de Vaisseau Paris", le torpilleur 298, le bombardier 570, les laté 523, 631, 631-2 "Lionel de Marmier". Après la guerre il continue de voler, et, en 1946, il est dans l'avion qui en approche à Montevideo en Uruguay a perdu trois pales d'hélice du moteur intérieur gauche, trois pales qui ont coupé la coque, causé la mort de deux passagers, provoqué la chute du moteur, arraché de son bâti le moteur extérieur gauche. Les deux pilotes Chatel et Mouligné ont réussi quand même à se poser sur une lagune. 

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Mécanicien. Tué le 15 janvier 1928 a bord d'un Laté 25, piloté par Hervé Santelli, l'avion se disloque en vol sur le tronçon Rio-Buenos Aires.

Mécanicien. Disparu en mer avec Guillaumet, Reine, Le Duff et Montaubin, ainsi que deux passagers. (Ils ont été abattu par un chasseur italien dans la canal de Sardaingne)

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Mécanicien. Le 15 février 1921, avec Henri Mérel, il percute un obstacle du côté de Gibraltar.

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Mécanicien. Il entre à l'Aéropostale en 1919.

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Mécanicien. Il rentre aux Usines Latécoère à Toulouse-Montaudran le 1er Février 1922 comme spécialiste de moteur d'avion. Il devint chef mécanicien de Montaudran.

Mécanicien. Etampois, Camille Jousse l'est presque. Né le 12 avril 1887 dans le village voisin de Morigny-Champigny, Il s'engage à 18 ans dans la marine nationale comme mécanicien et y reste jusqu'en 1910.
Ainsi doté d'une solide expérience professionnelle acquise durant ces années de service, il se fait embaucher comme mécanicien monteur d'avion à la société des avions Henri et Maurice Farman.
Les deux frères, dont les usines d'assemblage se trouvent à Boulogne Billancourt, possèdent aussi à Etampes-Villesauvage, une école de pilotage crée en 1909.
Il rejoint le 1er février 1922, les usines Latécoère de Toulouse Montaudran comme spécialiste de moteur d'avion et en devient le chef mécanicien. Dès lors, il est, aux côtés des plus grands noms de l'histoire de l'aviation et grâce à la tenacité d'un autre Etampois -Marcel Bouilloux Laffont- de la grande aventure de l'Aéropostale. 
Le 16 janvier avec Jean Mermoz, Mailloux, Manuel, Carretier, Mariault et Couzinet, ils traversent l'Atlantique sud à bord de l'Arc-en-Ciel en 14 h 27.

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Mécanicien. Il disparut en mer le 7 décenbre 1936 avec Mermoz.

Mécanicien. Au cours de la 124ème traversée de la Cordillère un dramatique accident destiné à connaître un retentissement mondial, eu lieu le 13 juin 1930 au lac Diamante l’atterrissage dramatique de Guillaumet.

le mécanicien Lefevre fit une première expédition qui lui permit de ramener le courrier et le moteur. Au cours de la deuxième expédition, réalisée trois mois plus tard, il put redescendre l’appareil démonté. Cet avion a été réparé et revola.

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Mécanicien. Le 16 janvier avec Jean Mermoz, Mailloux, Manuel, Carretier, Jousse et Couzinet, ils traversent l'Atlantique sud à bord de l'Arc-en-Ciel en 14 h 27.

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Mécanicien. Le 2 octobre 1920, François Marty-Mahé et Jean Rodier se perdent en mer au large de Port-Vendres. Ce sont les premières victimes de la Ligne.

Mécanicien. En septembre 1922, Paul VACHET, Julien PRANVILLE et MASSOL effectuent un vol de reconnaissance entre Casablanca et Oran, en vue de créer une liaison régulière.

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Mécanicien. Disparu en mer avec Guillaumet, Reine, Le Duff et Frankes, ainsi que deux passagers. (Ils ont été abattu par un chasseur italien dans la canal de Sardaingne).

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Mécanicien. Il péris carbonisé en s'écrasant sur le terrain de Dakar avec Lassalle, le pilote.

Mécanicien. Il participa à l'ouverture officiellement de la Ligne Toulouse-Rabat grâce à trois Bréguet 14, le 1er septembre 1919 avec Jean Dombray, Pierre Beauté et Didier Daurat.

Mécanicien. Apprenti garagiste à Beaune, engagé à 18 ans dans l'aviation, mécanicien hors pair (et copilote comme bien des mécaniciens avion de l'époque), Paul Nubalde a fait la quasi-totalité de sa carrière civile comme chef mécanicien chez Latécoère et dans l'Aéropostale. A ce titre, il a côtoyé toutes les « légendes » : Guillaumet, Mermoz, Saint-Ex… Itinéraire très aérien d'un Bourguignon né à Barizey, au cœur de la côte chalonnaise, cinq ans avant le premier vrai vol de l'histoire de l'aviation.

Ingénieur. La veille de l'inauguration de la ligne Marseille-Alger, il trouve la mort avec l'équipage (Ferdinand Achille Enderlin, pilote, René Mercier, pilote, Éloi Ville, pilote, René Perret, ingénieur, Gustave Berdin, ingénieur, M. Mattei, opérateur radio) lors d'un vol d'essai de l'hydravions Laté 21 à Marignane

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Mécanicien.

Le 11 novembre 1926, les pilotes Erable et Gourp, accompagnés du mécanicien Pintado et de l'interprète Ataf décollent de Cap Juby en direction de Villa Cisneros.
Approchant de Cap Bojador, Gourp (qui transporte le courrier) tombe en panne et se pose suivi du 2ème équipage.
Au cours de la fusillade, Pintado est tué.

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Mécanicien. Son surnom était " la souris" car il était assez menu et se faufilait dans les parties inaccessibles de l'avion.

Mécanicien. Né le 19 Janvier 1901 à VIVIERS (Ardèche) Décédé en février 1983.  Il est engagé chez Latécoère le 4 octobre 1924. 
Il devient mécanicien d'essai.

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Le 2 août 1927, au commande d'un Latécoère 17-3.J, l'avion s'écrase sur une colline (300 m) près de Boussan, entre Saint-André et Aurignac, à 25 km au nord-est de Saint-Gaudens et détruit par un incendie. Le pilote Alexandre Bury, le copilote Georges Guyollot, le mécanicien Léopold Sirvin et les passagers André Brangier et sa femme Hélène Brangier périrent dans l'accident.

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